Selon les derniers chiffres de l’INSEE et du CGEDD (Conseil général de l’environnement et du développement durable), le nombre de ventes immobilières dans l’ancien se stabilise à un niveau très élevé, preuve de l’intérêt que porte les Français à la pierre comme valeur refuge dans un contexte difficile.
Guerre en Ukraine, inflation, hausse des taux (jusqu’à 3,5% annoncés à fin 2022), serrage de vis des conditions de crédit… En dépit des nuages qui s’accumulent sur le pouvoir d’achat des ménages, l’immobilier - dont le prix continue de grimper - ne connait pas la crise. Après des records historiques ces dernières années, le volume des ventes immobilières dans l’ancien à fin mai se maintient à un cap particulièrement élevé, au-dessus du million de transactions. Preuve que la pierre, considérée comme un investissement sûr et rentable, a toujours la côte auprès des Français. Cet intérêt dynamise aussi le marché du diagnostic immobilier, en avance d’un trimestre sur celui de la vente. En effet, pas de pause estivale pour Diagamter : le nombre d’interventions réalisées par nos diagnostiqueurs certifiés cet été restent très fort, au niveau de celui de 2021. De quoi augurer une rentrée active pour le secteur de l’immobilier. Fin de l’euphorie pour le marché de l’ancien dès 2023 ? A suivre…