Retraité depuis une dizaine d’années, Denis B., ancien agent immobilier, continue de devoir s’appuyer sur les diagnostics immobiliers, et notamment Marc Josseaux, diagnostiqueur Diagamter, en tant que bailleur d’appartements en Moselle.
Il nous explique notamment combien les diagnostics immobiliers, considérés comme un « mal nécessaire », ont généré de l’angoisse, aussi bien auprès des vendeurs que des acquéreurs, laquelle est devenue plus simple à lever avec l’explication pédagogique des anomalies détectées par un professionnel.
Et combien la loyauté dans cette profession est essentielle pour un achat en toute confiance engageant 25 ans de crédit pour l’acquéreur.
Comment avez-vous découvert la profession de diagnostiqueur immobilier ?
Denis B. : Ayant été agent immobilier en Moselle durant 14 ans, jusqu’en 2011, j’ai découvert cette profession par obligations, pour les transactions. Ces contrôles faisaient peur au vendeur, comme à l’acquéreur.
Par exemple, le plomb était régulièrement détecté dans les sous-couches de peinture des portes ou fenêtres, même si elles étaient anciennes, car l’appareil de contrôle utilisé par le diagnostiqueur était très perfectionné. Cela soulevait la question du saturnisme pour les enfants. Ou encore, dans notre région, les toitures en fibrociment, contenant de l’amiante, restaient fréquentes. Mais il fallait préciser la présence de ce matériau toxique même si ce n’était le cas que dans une aération ou d’un conduit, finalement peu accessible.
Les diagnostics immobiliers étaient un mal nécessaire. Ils ont, au départ, généré de l’angoisse, car on affirmait au vendeur que sa maison était pleine de défauts.
Aujourd’hui, comme pour les contrats d’assurance on ne regarde que les garanties proposées et leur coût, on ne consulte plus, pour les diagnostics immobiliers, que la superficie certifiée du bien et la note attribuée par le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE), ainsi que les risques liés au terrain, car nous sommes situés en zone minière.
Pour quelles raisons avez-vous choisi Diagamter ?
Denis B. : Lors de la mise en vente, pour afficher l’annonce immobilière, le vendeur était obligé de fournir un DPE. S’il ne trouvait pas de diagnostiqueur, nous lui proposions un professionnel du domaine.
Marc Josseaux nous avait démarché. Il est à la fois très sympathique et très réactif. Nous lui avons confié beaucoup de diagnostics immobiliers, toujours avec l'aval du client.
La différence avec la concurrence était marquée par un rapport très complet, peut-être avec un peu trop de littérature. Marc Josseaux a surtout le contact facile. C’est comme pour les établissements bancaires pour les crédits immobiliers : nous avions des accords avec tous, mais des atomes crochus qu’avec certains.
Avez-vous assisté à des visites de repérages ? Comment s’est-elle déroulée ?
Denis B. : Marc Josseaux est très précis dans son travail. Dernièrement, pour une location de bien, j’ai trouvé un peu affolant ce qu’il est obligé de faire, comme démonter le tableau électrique. Il m’a sorti des anomalies sur le gaz et l’électricité en m’expliquant que ce n’était pas grave.
C’est bien l’ambiguïté du système : à la lecture des anomalies, sans explication de la part du diagnostiqueur, on a l’impression qu’il faut refaire toute l’installation ! Être néophyte, c’est rassurant et angoissant à la fois, comme on l’est face à un médecin. On reçoit la photographie instantanée d’un bien en fonction de normes et directives gouvernementales. Mais lorsque l’on n’est pas un professionnel, des anomalies ressortent inévitablement et peuvent me faire peur en tant qu’acquéreur, lequel en prend pour 25 ans de crédit et se pose fatalement des questions sur la pertinence de son achat.
De plus, il faut à nouveau faire réaliser le diagnostic, car avec l’évolution des normes, de nouveaux éléments à contrôler apparaissent après seulement quelques années.
Le conseil délivré par Marc Josseaux, dans son rapport et à l’oral, était important pour rassurer à la fois l’acquéreur et le vendeur, par son sérieux et son professionnalisme. Ce diagnostiqueur nous expliquait toujours, avec patience et pédagogie, le pourquoi du comment sur toute anomalie détectée.
Parmi les valeurs de l’enseigne, laquelle vous semble la plus appropriée aux prestations de votre diagnostiqueur Diagamter ?
Denis B. : La loyauté et le respect. Marc Josseaux ne fait jamais de passe-droits : s’il a découvert quelque chose, il l’indique. Ce n’est pas parce qu’il vous connaît qu’il n’exercera pas son devoir. Il est carré, très humain, attachant, et possède un vrai respect de valeurs essentielles.
Il possède aussi la première des politesses : être ponctuel ou prévenir s’il a du retard. De plus, le rapport de diagnostic immobilier n’est pas remis quinze jours plus tard, mais sous 48 à 72 heures.
Bon à savoir
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